La Barraca
La Barraca vzw
   
 
   
 Home   La Barraca   Artists - Styles - Concepts   Press   Concerts   Links   Contact 
   
  view this page in another language :  NEDERLANDS FRANÇAIS ENGLISH DEUTSCH  
  
  video  VIDEO (YouTube)  
  
   fado   
   flamenco   
  
  video  HR PHOTOS  
  
   Iberico   
     
  
 
  
IBERICO
   
   

“Sur le Fado et le Flamenco, …on se connait”!

Aussi bien le Fado que le Flamenco sont né d’une fusionnement de différentes cultures musicales et ils connaissent leur origine dans la même époque.
IBERICO souhait unir sur scène ces deux genres musicales urbaines légendaires, ceci avec l’ambition d’accentuer les ressemblances remarquables et différences provocantes!
   
Des ressemblances, il y en a plusieurs :
   
* L’essentiel du Fado et du Flamenco c’est pouvoir transmettre ou sentir une étincelle entre les musiciens et entre artistes et leur publique! c’est pourquoi il y a toujours l’accent sur l’expressivité et l’émotion. Flamenco, ni Fado est de la musique qui n’est que représenté ! Il s’agit toujours d’une interaction entre l’artiste et son publique. Si on trouve la réussite, le Saudade dans le Fado et le Duende dans le Flamenco y sont le fruit.
   
* Les deux ont évolué du marge de la société. Dans les quartiers pauvres des villes Iberiques émergeantes, des gens d’origines ethnique totalement différentes y survivaient ensemble. Une propre culture y a pris naissance. Un mix de fatalisme, fierté et energie dans la lutte de tous les jours pour survivre.
Il y avait une nécessite pour une nouvelle type de musique pour en donner expression. Asi naquit le Fado en Portugal et le Flamenco en Andalusie. Entretemps, ils sont devenu depuis longtemps les genres musicales les plus célèbre du presqu’ile ibérique.
   
* A première vue, l’énergie et l’ambiance des deux paraît presque contradictoire. Mais celui qui examine découvera rapidement plusiurs ressemblances musicales.
Les deux ont une répertoire traditionelle comme base. La plupart des musiciens connaissent ce base. En plus, la structure fixe rithmique et harmonique laisse beaucoup d’espace pour des interprétations très personnelles et émotionelles dont on peut improviser sans fin.
   
* A Portugal, les Casas de Fado ont mis le Fado en carte définitivement, au début du 20ième siècle. Et dans la même période le Flamenco avance énormément en Andalousie grâce a l’importance des Cafe Cantantes!
   
* Aussi bien le Fado comme le Flamenco ont été “récupéré” et proclamé ‘musique populaire nationale » dans le 20ième siècle par les dictateurs Salazar (Portugal) et Franco (Espagne). Mais comme les initiés le savent: Hors de chaque mouvement politique, le Fado et le Flamenco ont continué a se développer, seulement restant obéissant à leur propre lois et à leur propre âme. L’attention réciproque – un experiment dont IBERICO s’engage au fond – est précisement l’atout de cette production passionnante!
   
Sur scène, nous écoutons en changeant du Fado très émouvante tant que du Flamenco traditionel, chaleureux. Dans cette production, petit à petit les deux s’approchent de l’un à l’autre avant de se terminer par une apothéose collective!

   
   
Fadistas :
   
Maria da Saudade

Maria da Saudade

Maria da Saudade a entamé sa carrière de fadista après avoir gagné un concours de fado au Portugal. Depuis lors, elle a fait des concerts dans des prestigieux théâtres portugais et à l’étranger (en Belgique notamment au De Bijloke Muziekcentrum à Gand), et enregistré quatre CDs. A l’intérieur du fado traditionnel, elle a inventé un style tout à fait unique et original, sculptant la ‘saudade’ d’une telle façon que sa voix, surgissant du silence, semble être sur le point d’éclater en sanglots, tout en affirmant bien plutôt un profond et généreux « oui ! » à la vie dans toutes ses dimensions.

   
   
   
 

Joao Escada

Né au sein d’une famille de musiciens de fado, Joao Escada a appris à chanter lorsqu’en tant que petit gosse, son père l’obligeait à faire entendre sa voix en l’installant sur une table pendant de longues « nuits de fado » dans les bars de Lisbonne. Ensuite, il s’est perfectionné dans l’art du fado traditionnel avec le grand maître Fernando Mauricio. Après avoir gagné le fameux prix de la « Révélation du fado », dont la grande diva Amalia Rodrigues elle-même présidait le jury, il a obtenu des contrats dans les grandes maisons de fado de la capitale lusophone. Depuis quelques années, il est également très souvent sollicité par la communauté portugaise résidant hors du Portugal, tout en faisant des concerts dans des théâtres tels que (en Belgique) De Bijloke ou De Centrale.

   
   
   
Ana Luisa

Ana Luisa

Première et unique femme à jouer la viola de fado, Ana Luisa accompagne des lauréats du plus grand concours de fado à Lisbonne, le « Grande Noite de Fado », depuis plus de dix ans. Elle fait partie du groupe autour des fadistas Maria da Saudade et Joao Escada, et joue également dans des nombreux groupes de fado traditionnel au Benelux. Elle prolonge le style sobre et rigoureux de notamment José Inacio, aussi bien dans des salles belges telles que le Hot Club de Gand ou De Bijloke, que lors de concerts pour les communautés portugaises au Portugal et à l’étranger.

   
   
   
Luis Ribeiro

Luis Ribeiro

Luis Ribeiro est une éminence grise de la guitare portugaise à Lisbonne. Il était pendant cinq ans le guitarrista attitré d’Amalia Rodrigues, et continue à accompagner les plus grands chanteurs de fado au Portugal et à l’étranger. Entre-temps, il est devenu un véritable maître de l’improvisation dans un style de fado tout à fait épuré et intériorisé, qui néanmoins permet les plus surprenantes irrégularités.

   
   
   
Flamencos :
   
Irene Alvarez
   
Photo par Eva Faché
Website:  https://www.facebook.com/Eva-Fach%C3%A9-Fotografie-515219831836297/ 
   

Irene Alvarez, danse

C'est à Séville, chez la danseuse / professeur très connue Matilde Coral, qu'Irene Álvarez a suivi des cours approfondis de Flamenco.En outre, elle apprend également avec plusieurs danseurs importants à Jerez.Une formation à Séville, une autre à Jerez : deux villes qui militent depuis longtemps pour le titre de 'capitale du Flamenco'.
Il va de soi que son style est classique et fait penser à l'école réputée de Séville, qu'elle accentue par une élégance fine et très particulière.Mise à part sa formation chez Matilde Coral, Irene commença à l'âge de 9 ans à danser, elle a suivi une formation au Real Conservatorio de Música y Danza Sevilla, où elle a terminé ses études de Flamenco, mais aussi de danse espagnole, de ballet et de boléro.
Comme vraie sévillane, elle maîtrise aussi les 'Sevillanas', danse typique de sa ville natale connues en Espagne mais aussi à l'étranger. En dansant les Sevillanas, Irene fait également preuve d'un style spontané et pur.

   
   
   
Alexander Gavilan

Alexander Gavilán, guitare

Le guitariste flamenco Alexander Gavilan (1969) commence ses cours à l'âge de 11 ans, avec Thomas Seda à Cologne. De 1990 à 1998 il accompagne les cours de danse « Contratiempo » à l'école de flamenco de Cologne (e.a. accompagnement de Andrian Galía, Fernando Galán). Il fait aussi des concerts nationaux et internationaux avec de nombreux ensembles flamenco et compose la musique pour les spectacles flamenco du groupe Amanecer.
Alexander fait la musique pour les pièces de théâtre Salome – Theater und Flamenco ('95) et Unter freien Himmels ('97) et collabore aux enregistrements des CD "Leyendas" ('99) de la groupe fusion A Touch of Flamenco et "Amanecer Life im Senftöpfchen" (2002).
En 1998, il déménage à Gand, et depuis, collabore régulièrement avec des artistes de la scène flamenco belge. Alexander étudie la guitare flamenco au conservatoire de Rotterdam avec Paco Peña, Ricardo Mendeville et Hans Van Gogh ; en 2004, il achève son Bachelor of Music. Grâce à une bourse de la Fondation pour les Arts Expressifs, il entame la deuxième partie de ses études dans la ville de Séville, où il suit les cours de la Fundación Cristina Heeren de Arte Flamenco avec e.a. Niño de Pura, Miguel Angel Cortés et J.L.Postigo. Depuis septembre 2005, Alexander est professeur de guitare flamenco au conservatoire de Rotterdam.

   
   
   
Carmen Fernandez

Carmen Fernandez, chant

Carmen Fernandez, née en 1969 à Utrera (province de Séville), provient d'une génération de flamenco éminente dont fait partie le chanteur légendaire Juan Talega. Carmen Fernandez, petite fille d'une famille de gitans est très jeune entourée par le flamenco : sa mère est chanteuse, son père est danseur. Il va de soi qu'elle se consacre vite à l'Arte Flamenco.
Carmen devient interprète des vieilles traditions du flamenco, d'abord comme danseuse, puis comme chanteuse. Elle possède des connaissances approfondies des bases du flamenco. Grâce à sa voix énergique et passionnante, elle est la préférée du public dans plusieurs peñas de flamenco en Espagne et dans divers festivals d'Allemagne et du Benelux. Chaque fois son interprétation est très personnelle.
Elle a collaboré avec Concha Vargas, Joaquin Ruiz et Andres Marin.
Sa discographie : son premier CD date de 2003. Son deuxième et à la fois le plus récent s'appelle « Naturá », il sort en 2005.
Elle fait beaucoup de représentations en Europe et au Japon, en tant que soliste ou chanteuse pour la danse.